Le budget européen 2014-2020 arrêté lors du Conseil européen des 7-8 février 2013 ne satisfait pas les observateurs en termes de "projets d'avenir". L'éditorial des Echos les dit "massacrés", représentant à peine plus du dixième du budget total. Celui du Monde les décrit comme "variables d'ajustement", au détriment des dépenses agricoles et des aides régionales.

Interrogé sur le sacrifice des projets d'avenir en conférence de presse le 9 février, François Hollande a éludé la question (p. 19).